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niceinfoot

22 avril 2009

Venez chatter!

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6 mars 2009

Julien sablé revient sur le match contre Sochaux

   

Julien Sablé est revenu pour Sportweek.fr sur la défaite de l’OGC Nice samedi à Sochaux (1-0) dans le cadre de la 26e journée de L1. L’ancien Lensois analyse avec lucidité la performance des Aiglons.

Quelles sont vos impressions après la défaite niçoise samedi soir à Sochaux (1-0) ?

Julien Sablé : "Les Sochaliens n’ont pas volé leur victoire. On a affronté une bonne équipe qui produit du jeu et qui n’est pas à sa place au classement. On a été trop timorés en première mi-temps. Et comme à Rennes, au moment où on revenait mieux dans le match en seconde période, on se rate. Je me procure une grosse occasion que je n’ai pas convertie en but. Et derrière, on encaisse cette contre-attaque sur leur seule occasion en seconde mi-temps. On n’a pas fait un grand match mais on aurait pu au moins ramener le nul. On n’a pas la réussite avec nous.

Frédéric Antonetti a paru presque résigné après ce match, est-ce que ça ne couve pas une grosse colère intérieure de sa part ?

Il est forcément remonté parce que c’est un compétiteur. On n’aime pas perdre, on est tous comme ça. Mais je ne l’ai pas senti résigné. On a encore un tiers de championnat à jouer encore et de belles perspectives. Sur des matches comme ça où on se doit de ramener des points, il est toujours déçu. En football, il y a des périodes fastes où tout vous réussi. Ce n’est pas le cas pour nous actuellement.

Est-ce que la défaite en Coupe de la Ligue face à Vannes est encore dans les têtes ?

(catégorique) Non. Dans ce que je ressens au sein du groupe, il fait partie du passé. C’est sûr qu’une qualification en finale de la Coupe de la Ligue aurait donné un formidable coup de boost. J’ai revu ce match contre Vannes et on ne peut pas dire qu’on soit passé à travers. On a eu des occasions mais on a manqué de réussite."

18 février 2009

NICE REFAIT LE COUP DU MANS À NANCY...

       

 

Frédéric Antonetti (entraineur de Nice) :

Je savais que l’équipe était compétitive. On était bien en place, le rythme est tombé dans les trente dernières minutes et on a marqué ce but important sur une passe lumineuse de Ben Saada. On prend les trois points et je suis très heureux ce soir. (OrangeFoot)

C’était un match assez équilibré et ouvert entre deux équipes qui allaient de l’avant, même si les 20 dernières minutes ont été difficiles trois jours après un match de championnat. L’issue ce soir aurait pu être un nul mais la victoire nous revient. Je suis content pour les garçons, surtout pour les jeunes qui étaient nombreux ce soir. L’élimination à Vannes, en demi-finale de la Coupe de la Ligue, nous avait fait très mal et ces deux succès consécutifs en championnat (au Mans et à Nancy) nous font beaucoup de bien. Maintenant, il n’y a pas d’objectif en particulier, nous essayerons de faire en sorte d’être aussi performants sur le troisième tiers de la saison que sur les deux premiers. Il y a des gros devant au classement mais il faut avant tout penser à se faire plaisir. (AFP)

Pablo Corréa (entraîneur de Nancy) :

Je suis en colère, non pas parce que Nancy a été, est et sera une équipe qui joue le maintien, nous le disons depuis longtemps, mais en raison du premier but que nous encaissons. Il y neuf défenseurs dans nos rangs et personne ne monte sur le joueur qui a tout le temps de frapper. C’est une erreur de débutant. Cela fait longtemps que je sais que mon équipe réagit mais n’agit pas. Que le prochain adversaire soit Lyon ou un autre ne change pas la donne. En jouant comme ce soir, nous n’avons aucune chance.(AFP)

David Hellebuyck (milieu de Nice) :

Chaouky (Ben Saada) m’adresse un super ballon, je n’ai pas hésité. Je voulais d’abord frapper du gauche, j’ai hésité et j’ai frappé du droit. J’essaie simplement de cadrer et ça va dedans. On a obtenu des résultats en première partie de saison puis on a eu un coup de moins bien mais on sait que cette équipe a du potentiel.(OrangeFoot)

18 février 2009

NICE sans sort bien au MANS...

Habib Bamogo (attaquant de Nice) :

C’était un match difficile pour un attaquant. Le Mans a poussé, de notre côté nous avons eu du mal à ressortir les ballons. La première mi-temps n’était pas terrible, et on prend un but dès le début de deuxième. Mais la victoire, et surtout la façon dont on a gagné en revenant au score est la meilleure façon de se remettre dans le droit chemin après les semaines difficiles qu’a connu le club. Ce succès est bon pour la confiance, c’est le meilleur médicament pour repartir du bon pied. Nous étions dans le trou depuis quelques matches même si avec une huitième place au classement et un match en moins il n’y avait pas lieu de s’alarmer. La façon dont nous sommes allés chercher la victoire est encourageante, même s’il reste beaucoup de choses à améliorer. (site officiel Nice)


Frédéric Antonetti (entraîneur de Nice) :

C’est une victoire au finish, mais une victoire méritée. On prend un but alors qu’on avait l’impression d’avoir le match en main. On avait un peu les boules mais on a su se révolter contrairement à notre revers à Valenciennes (1-0). On a su inventer des choses dans la surface de réparation, ça nous avait manqué lors des derniers matches. Cette première victoire historique au Mans va nous permettre d’avancer. Mais ce sera très dur, mardi à Nancy, avec 6 suspendus. On a retrouvé de l’inspiration en attaque et c’est intéressant pour la suite

18 février 2009

Les aiglons ont donné ce qu’ils pouvaient lors de

   Les aiglons ont donné ce qu’ils pouvaient lors de cette journée mais les qualités lyonnaises assorties d’un arbitrage discutable ont eu raison des intentions niçoises. Réduits à 10 puis à 9, Nice a évité la correction grâce à une débauche d’énergie malgré les jambes lourdes et à son gardien Ospina.        

 





Honorato Campos Ederson (attaquant de Lyon) :

Un match costaud, sérieux qu’il fallait réaliser à Nice, un stade très chaud, pour prendre les trois points nécessaires pour rester en tête. C’est peut-être le déclic. Il est important de conserver cette cohérence et cette envie de produire du jeu notamment chez nous. Lyon a du caractère et l’a montré pour résister au retour de nos concurrents. Maintenant ce n’est qu’un match, il faut enchaîner et ne plus laisser de points. Le championnat est encore très long, et le classement très serré.




Frédéric Antonetti (entraîneur de Nice)

On a pris le match à l’envers en ne faisant rien de ce qui est prévu. Multiplier les passes devant Lyon ne pardonne pas pour une équipe comme la nôtre. Barcelone le fera, ça s’est sûr. Mais nous, nous n’en avons pas les moyens. On savait que cela allait être compliqué devant Lyon, qu’il faudrait être au summum de nos forces et de notre confiance. Dès qu’on a joué plus direct vers l’avant, on s’est aperçu qu’on pouvait les inquiéter un peu. Mais le mal était fait avec déjà deux buts contre nous. A 11 contre 11, peut-être pouvait-on espérer les tracasser. Mais on s’est trop énervé. Je suis peut-être fautif, je leur ai fait une causerie musclée à la pause. On sort d’une semaine très, très difficile qui laissera des traces. On en tirera les enseignements. Comme je l’ai toujours dit, il faut être réaliste et objectif : nous sommes très loin des cinq premiers. Mais il ne faut pas jeter tout ce qui a été fait après les deux défaites en championnat et l’élimination en demi-finale de la Coupe de la Ligue. Il y a des places d’honneur à récupérer. Et nous allons nous y atteler en travaillant, car je ne connais pas d’autre méthode. Et déjà en se retapant un physique et un moral bien entamés et en faisant face aux suspensions

Cédric Kanté (défenseur de Nice) :

On a peut-être trop respecté Lyon en première période. Mais on avait beaucoup souffert à Gerland en seconde période du match aller. Notre réaction a été bonne avec de l’agressivité et des actions, moins avec nos deux cartons rouges. On a pourtant su refaire surface, c’était loin d’être évident face à Lyon qui menait (2-0) et après notre défaite devant Vannes en Coupe de la Ligue. Le troisième but lyonnais gâche un peu le tout. C’est dur à vivre mais il n’y a pas de doute dans le groupe.(sources ogcn.net)

   
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26 janvier 2009

LES REACTIONS APRES LA DEFAITE DE NICE EN COUPE DE FRANCE...

Frédéric Antonetti (entraîneur de Nice)

On est venu faire un amical. Contre Monaco on n’a pas le droit. Ce n’est pas Monaco qui a gagné, mais Nice qui a perdu. Il faut avoir horreur de la défaite. On a été trop en-dessous de ce qu’on est capable de faire pour nous qualifier. Le danger, en football, c’est de s’embourgeoiser. Ce soir, je n’ai pas trouvé mon équipe avec un tempérament de guerrier. Je fais un constat. Mais je ne veux pas sortir la boîte à excuses. Maintenant, j’attends une réaction lors des prochains matches.

David Hellebuyck (milieu de Nice) :Nice n’a pas existé ce soir, n’a pas évolué à son meilleur niveau. Nous avons manqué d’agressivité, d’engagement. C’est dommage de se faire éliminer à ce stade alors que nous avons un bel effectif, et que nous venons d’étoffer au mercato.


Loïc Rémy (attaquant de Nice)

On peut être mécontent vu le match que l’on a fourni. Ce soir, Monaco était plus en jambes que nous. Sur une action bénigne, ils marquent un but qui nous crucifie. On est donc énormément déçu. Cela va nous servir de leçon pour la suite de la saison.

Vincent Hognon (défenseur de Nice) :

On a été dominés, surtout en première mi-temps, a réagi le défenseur niçois au micro d’Eurosport. Ce soir, ce n’était pas catastrophique mais pas suffisant pour remporter un derby. Il nous reste le championnat et la Coupe de la Ligue à présent. A nous d’aller le plus loin possible dans ces deux compétitions.

25 janvier 2009

IINTERWIEW ADEILSON...

                   

ADEILSON À 17 ans, il cultivait la banane. Six étés brésiliens plus tard, il arrive au Gym. Bien décidé à planter encore....et c'est le GYM qui aura la banane....


         

Adeilson, peux-tu narrer tes débuts dans le football ?
J’ai commencé en club à l’âge de 17 ans. Au Real de Caete, avec qui nous évoluions dans le championnat amateur local. Avant ça, je pratiquais uniquement le football de cité, de plage. Car je travaillais. Dans la plantation de bananes. Elle a beaucoup d’importance à Nova União, la ville où je suis né, où j’ai grandi. Une commune de 7000 habitants, dans la région de Minas Gerais. C’est un village tranquille, vivant. Là-bas, il n’y a pas d’industrie. Mais on peut assister à beaucoup de festivités. Dont plusieurs manifestations autour de la banane, justement.

Tu as donc endossé ton premier maillot en 2002 ?
Exact. Cette année-là, j’ai joué au Real de Caete puis à Santa Cruz. La saison suivante, pour União Luziense. En 2004, j’ai signé à Mamoré, avec qui je suis passé pro en fin d’année. L’équipe était en première division ; aujourd’hui en troisième. En 2005, je me suis engagé avec Democrata pour trois mois, afin de disputer la Coupe de São Paulo. En 2005 et 2006, j’ai porté les couleurs de Guarani. Les deux années suivantes, celles d’Ipatinga. Nous sommes montés en première division puis nous sommes redescendus. Et me voilà à Nice… J’ai toujours été attaquant.

Buteur prolifique ?
(Il sourit) Oui…

Qu’est-ce qui t’a le plus marqué, à ton arrivée à Nice ?
La température, sans aucun doute ! À Ipatinga, 24, 25 degrés, c’est froid. Et ça peut monter jusqu’à 40, 45°C. Ensuite, la nourriture. Moi, je mange beaucoup de feijoada. Au Brésil, on est de grands amateurs de plats à base d’haricots, de riz. Ici, je n’en vois pas beaucoup. Là, j’ai mangé des pâtes, du poisson, de la salade. J’ai goûté les macarons et le saumon grillé, que je ne connaissais pas. Depuis mon arrivée, j’ai perdu 3 kilos.


Comment te définirais-tu ?
Je pense être mature, responsable et respectueux de tous. Je ne ferais pas aux autres ce que je n’aimerais pas qu’on me fasse. J’accorde beaucoup d’importance aux valeurs, aux hommes. Je n’ai pas quitté le Brésil pour rien. Mais bien pour réussir. J’ai des rêves à réaliser. Je veux accomplir celui de ma famille. Et je vais tout donner pour l’atteindre.

Les impressions sur la France?
C’est bien, c’est tranquille, organisé. À l’image de la circulation routière. Avant de venir, j’associais la France et l’Europe au froid. Comme la plupart des Brésiliens. Le temps s’est amélioré mais c’est vrai que pour l’instant, la chaleur manque un peu (rires).

« Ederson m’a dit le plus grand bien de ce club »

La Ligue 1 ?
Je savais que le football français était plus rapide, plus dur. Et je constate qu’ici, c’est bien plus professionnel qu’au Brésil. Du championnat, je connaissais Fred, Juninho… Les Français ? Je peux citer Makélélé, Giuly… Les internationaux, en fait.

L’échange avec tes coéquipiers n’est-il pas trop compliqué ?
J’ai un peu parlé avec David Ospina. Mais l’espagnol colombien et le portugais brésilien demeurent très différents. Alors on se comprend un peu, mais ça reste difficile. J’ai commencé les cours de français, à raison de 5 heures par jour. Et j’ai remarqué que certains mots sont proches des miens : "attention", "réception"…

Tes premières impressions sur l’OGC Nice ?
Je suis heureux ici, j’aime ce club. J’ai reçu un excellent accueil de la part de tout le monde. Du staff, sportif et administratif, du Président Cohen, de Roger Ricort…Ils m’apportent tout le confort dont je peux avoir besoin. J’ai aussi eu Ederson, que je ne connaissais pas, au téléphone. Il m’a dit le plus grand bien de ce club.


Depuis les tribunes, tu as découvert le vieux stade du Ray…

Je le trouve bien conservé… J’ai bien aimé son ambiance. La pelouse est belle, courte. Elle favorise le jeu rapide. C’est ce que j’aime.


« Les supporters m’animent »


Les supporters sont-ils importants à tes yeux ?

Je fais très attention à eux. Je suis très sensible à la critique. Qu’elle soit positive ou négative. Je sais que je suis attendu, je vais tout faire pour avoir les supporters avec moi. Car c’est eux qui m’animent.

Sur Internet, on peut te voir célébrer tes buts de manière très expressive…

(Il rit) Je ne fais jamais la même chose. Même si, depuis que j’ai le nom de ma fille tatoué sur l’avant-bras gauche, je le montre à chaque but. Si je compte faire pareil à Nice ? Je vais attendre d’être un peu en confiance (rires)

 


Quelle est ta notoriété au Brésil ?
Depuis la saison dernière, où j’ai plutôt bien marché, je suis assez connu. On m’arrête souvent dans la rue. Les clubs brésiliens ne voulaient pas que je quitte le championnat. Mais j’arrivais en fin de contrat et je n’ai pas prolongé. Jouer en Europe, c’est le rêve de tout joueur brésilien.

Ton plus beau souvenir de foot ?
Il y en a deux. L’un, au Morumbi, contre São Paulo. J’avais fait un bon match et on peut considérer que c’est là que j’ai été révélé au grand public. Le second : lorsque j’ai inscrit mon premier but au Maracana, contre Fluminense. C’était la fête, le stade était plein…

As-tu une idole ?

Ronaldo. C’est un phénomène. Il savait faire la différence par un démarrage foudroyant. J’ai toujours été fasciné par sa puissance, sa facilité à marquer. J’aime bien Kaká, aussi. Niveau équipes, j’apprécie Barcelone, par rapport au jeu qu’ils produisent.

Quelles sont tes passions, en dehors du football ?
Ma famille. Ma femme et Ana Luisa, ma fille de huit mois. Ma passion, c’est eux. Je passe beaucoup de temps en leur compagnie. J’ai aussi deux grands frères, de 24 et 25 ans. L’un est chauffeur de taxi, l’autre garagiste. Sinon, au Brésil, j’allais souvent à la plage. J’aime bien visiter, aussi. Même si je ne l’ai pas encore fait en France. Ici, je passe beaucoup de temps sur le Net. Pour suivre l’actualité et rester en contact avec mes proches.(source actufoot & OGCN.net)

Y.F.


25 janvier 2009

Frédéric Antonetti (entraîneur de l’OGCN) : La

Frédéric Antonetti (entraîneur de l’OGCN) :

La coupe fait vivre le groupe. Si on a la chance de continuer, ça peut être bien. Même si une telle affiche, je l’aurais préférée en finale. Là, je trouve qu’elle arrive un peu tôt. Un Monaco-Nice en quart, en demi, ça a déjà plus de gueule. Je n’aime pas trop l’expression « faire tourner ». On ne titularise pas un joueur pour lui faire plaisir. Certains vont avoir droit à un temps de jeu parce qu’ils le méritent. La coupe va permettre de voir des joueurs dans des conditions différentes. (actufoot06)

Drissa Diakité (défenseur del’OGCN) :

Pour le moment, tout fonctionne à merveille, tout le monde tire dans le même sens et l’effectif est large. Mais n’oublions pas que nous avons vécu un mois de décembre très difficile ! Monaco-Nice, ça reste toujours un derby même si c’est la Coupe de France (16e). Nous devons réaliser le même match qu’en championnat. Il nous faut aller chercher la qualification dimanche. Nous restons sur deux victoires. Pourquoi pas une troisième ? (Nice-Matin)

Chaouki Ben Saada (attaquant de l’OGCN) :

On est très motivés. On sait que c’est un match important pour tous les Niçois. C’est un peu l’opposition des statuts riche/pauvre. On va essayer de rattraper ça par le foot. Les Monégasques vont vouloir se reprendre, prévient Ben Saada. Nous, on va tenter de confirmer. Les deux équipes seront à fond, comme pour une finale. Ce sera peut-être plus qu’un match de coupe. (actufoot06)

Cyril Rool (défenseur de l’OGCN) :

C’est la plus belle Coupe pour moi. Elle est plus complète, je la préfère. Une compétition, il faut la jouer à fond sinon ça sert à rien. On s’est bien préparé. Je pense que Frédéric Antonetti va faire un peu tourner parce qu’on a plusieurs matchs à venir. En Coupe de France, je ne suis jamais allé très loin, pourquoi pas cette année. Au Louis II on est chez nous, ça va être difficile mais c’est toujours intéressant un derby en Coupe et on va le gagner. (RMC)

Dimanche, on sait ce que l’on doit faire. C’est un derby à élimination directe. C’est le genre de match que l’on aime jouer. C’est comme une finale même si ce sont seulement les 16es. J’aime mieux affronter Monaco dans ces conditions qu’aller dans un bled perdu... Nous devons réaliser un match plein, tout simplement. Mais attention, les Monégasques ne sont peut-être pas dans une bonne situation actuellement mais c’est ce genre de match qui peut les remettre en confiance. On ne s’occupe pas de l’adversaire seulement de nous. On fait notre match et on gagne. (Nice-Matin)

23 janvier 2009

INTERWIEW FREDERIC ANTONETTI...

Frédéric Antonetti                Frédéric Antonetti veut d'abord son équipe briller en L1 (Panoramic)(sport24)

Alors que les supporters rêvent déjà d’une finale de la Coupe de la Ligue au Stade de France, Frédéric Antonetti insiste sur l’importance du championnat, une compétition qu’il place en première place dans l’ordre des priorités avant la réception d’Auxerre.

Frédéric, quel sentiment vous laisse la qualification de votre équipe pour les demi-finales de la Coupe de la Ligue ?

 

Frédéric Antonetti : Mis à part le match de Coupe de France à Arras qui s’est joué dans des conditions très particulières, les joueurs reprenaient la compétition après un mois de coupure. On partait sans avoir trop de repères. Dans ces conditions, on a fait un match très sérieux, avec beaucoup d’occasions. Il n’a manqué que les buts car sur la physionomie du match, la victoire est amplement méritée. Elle a simplement été longue à se dessiner. La faute à Revault, à un peu de maladresse et un manque de présence devant le but. Mais on a souvent déstabilisé notre adversaire et pour un match de reprise, c’est très positif. Je suis surtout très content pour les joueurs car ils se sont donnés à fond. C’est un match qui va nous faire du bien car on a retrouvé par moments les automatismes qu’on avait perdus ces derniers temps.

Depuis l’ouverture du mercato, on entend que certains clubs souhaitent obtenir votre jeune attaquant Anthony Modeste. Il réalise d’ailleurs de belles prestations…
Frédéric Antonetti : Modeste, il faut le laisser grandir, il n’a que 20 ans. Ca fait un mois qu’il fait de bons matches. Il a marqué contre Arras, il avait marqué contre Toulouse, il aurait pu marquer contre Le Havre. Il est en très nets progrès dans le contenu de ses matches. Strasbourg, Le Havre et d’autres clubs le voulaient en prêt. Quand nos jeunes intéressent d’autres équipes, cela signifie aussi que le club a franchi un cap. Mais j’ai décidé de le conserver. Il m’a dit qu’il souhaitait qu’on lui donne du temps de jeu. Mais on ne donne pas du temps de jeu… Il faut gagner du temps de jeu ! Et en ce moment, il marque des points.

Après avoir franchi un nouvel obstacle et avant d’affronter une Ligue 2 en demi-finale de Coupe de la Ligue, vous devez pensez à la finale au Stade de France ?
Frédéric Antonetti : On n’a pas de marge de manœuvre pour pouvoir se projeter aussi loin. On n’est jamais à l’abri et on ne gagne pas nos matches aisément. Quand on ne dispose pas de cette marge, il faut rester humble ! On affronte une Ligue 2 et on nous voit en finale. Moi, lorsque j’étais en Deuxième Division, j’étais arrivé en demi-finale de la Coupe de la Ligue et on avait «tapé» deux clubs de Ligue 1… Tiens, c’était d’ailleurs Nice et Le Havre ! Il faut beaucoup d’humilité.

Aujourd’hui, quel est l’objectif prioritaire de l’OGC Nice ?
Frédéric Antonetti : On est 8e à trois points du 5e en championnat, demi-finaliste de la Coupe de la Ligue et toujours qualifié en Coupe de France. C’est bien, mais il faut continuer. Il reste encore quatre mois et demi. Et quatre mois et demi, c’est très long en football. La priorité c’est le championnat. Ensuite c’est la Coupe de la Ligue, puis la Coupe de France. Voilà l’ordre. Mais si on peut faire tout et donner du temps de jeu à tout le monde, il ne faut pas s’en priver. Plus il y aura de compétitions, plus cela fera vivre le groupe. Mais ce qui me préoccupe aujourd’hui, c’est la réception d’Auxerre. Car en championnat, on a un peu marqué le pas en décembre

"tu as raison fred restons humble,ont a pas encore battus vannes,et tu n'a pas fini de te faire des cheveux blanc euh.....pardon du soucis pour gerer l'effectif afin de poursuivre l'aventure sur tout les tableaux"  allez NICE

23 janvier 2009

MOULONGUI MENAGER....




Nice : Mouloungui ménagé

 L'attaquant niçois Eric Mouloungui a été laissé au repos depuis le début de la semaine en raison d'une bonne grippe.

Malade, il n'a pu  s'entraîner normalement cette semaine. La grippe l'a empêché de travailler en ce début de semaine, mais il espère revenir à temps pour le derby face à Monaco en Coupe de France...le pauvre il est noir cette année (sans jeu de mot)..."courage eric on a besoin de toi ,pour destabilliser la defense monégasque..."

 

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